Docteur R.G. Hamer: Il y a 10 ans déjà que j'ai découvert cette Médecine Nouvelle. Et, en réalité, je l'ai découverte par la mort de mon fils. Il a été tué par balles, il y a 13 ans. A la suite de cet événement, je suis tombé malade d'un cancer des testicules. Aujourd'hui, je sais qu'il s'agit d'un cancer dû à un conflit de perte. Trois ans plus tard, j'ai tenté chez d'autres patients, de procéder à une reconstitution pour savoir si les choses s'étaient déroulées de la même manière.
Question: Auparavant, Docteur Hamer, est-ce que vous aviez étudié particulièrement l'oncologie, la cancérologie?
Dr Hamer: Non, cela n'a en fait rien à voir avec l'oncologie pratiqué jusqu'à présent. C'est une manière totalement de penser, de faire de la médecine. A savoir, une manière biologique, rigoureusement scientifique. Tandis que la médecine pratiquée jusqu'à maintenant et en particulier l'oncologie, qui, en réalité, n'existe même pas, nécessite de 1.000 à 2.000 hypothèses. La Nouvelle Médecine, n'en a besoin d'aucune.
Question: Dr Hamer, quelles étaient vos études de médecine? Vous avez étudié quoi, au départ?
Dr Hamer: En fait, j'étais médecin en médecine interne et j'ai travaillé durant 15 ans dans des cliniques universitaires. J'ai enseigné pendant 5 ans, en tant que "privatdocent", entre autres à l'université de Heilderberg. J'avais comme hobby particulier d'inventer des brevets. Je n'ai commencé à m'occuper d'oncologie que par le biais de ma propre maladie.
Question: Vous dites que l'oncologie et la cancérologie, vous l'avez étudié au moment où vous avez été touché par le cancer?
Dr Hamer: Non, j'ai évidemment aussi abordé l'oncologie à l'université comme tout le monde. Mais je n'y ai bien sûr, rien compris. En fait, il n'y a personne qui comprenne quelque chose. Cela paraît drôle, mais parmi les médecins, chacun le savait. En fait, nous faisions tous ce que l'on nous ordonnait de faire. Personne n'y comprenait rien, puisqu'il n'y avait rien à comprendre.
Question: Qu'est-ce qui vous a mis sur la piste de la découverte que vous avez faite au sujet du cancer? Quel est le point de départ de cette découverte?
Dr Hamer: Pour moi la médecine est une science naturelle. Et pour moi, la science, c'est de la recherche empirique. Toute l'oncologie, si l'on doit en fin de compte l'appeler ainsi, n'a comme point de départ que des hypothèses: le bon et le mauvais, qui sont des notions d'ordre théologique. On parle de cellules quelconques, qui nagent prétendument dans le sang et que personne n'a jamais vues.
Et il y a ainsi des centaines et des centaines d'hypothèses de ce genre. C'est à partir d'elles qu'on établit une thérapie. Personne n'y comprend rien, mais tout le monde y participe. En raison de mes études de physique et de mes inventions brevetées, ce que font les oncologues ne m'a jamais satisfait. Tout cela n'était qu'un fatras indéfini et c'est alors que j'ai trouvé un système biologique reproductible. Ou plutôt, j'ai cherché si un tel système existait. Et après les 200 premiers cas que j'ai examinés, j'ai constaté qu'un tel système existait: c'était la loi d'airain du cancer.
Il faut savoir que c'est la 1ère fois que quelqu'un dans le monde, proposait un système englobant la compréhension de l'évolution du cancer, la maladie en tant que telle, et la formation du cancer.
Je vais vous citer deux exemples qui montrent comment se pratique l'oncologie. Le 1er, c'est celui d'un professeur ordinaire dans le domaine de la prévention du cancer en Allemagne. Et l'autre, celui d'un éminent oncologue connu dans le monde entier. Le 1er a découvert que les bergers du Caucase n'attrapaient pas le cancer ou pratiquement pas. Il en a clairement déduit que ce qui différenciait les bergers du Caucase d'autres êtres humains, c'est qu'ils mangeaient du fromage de brebis. Il en a conclu dès lors, que le fromage de brebis était anti-cancérigène.
L'autre exemple, provient d'un oncologue lui aussi très, très intelligent. Il a découvert que les Tziganes n'avaient que peu, très peu de cancers. A partir de là, il s'est demandé à quoi cela tenait. Puis il a conclu, sans hésitation - même s'il y avait des milliers de choses qui pouvaient distinguer les Tziganes des autres gens, indépendamment du clan familial - il a retenu que les Tziganes dormaient chaque nuit ailleurs. C'est-à-dire chaque nuit sur un autre courant d'eau souterrain. Une conclusion s'imposait donc, scientifiquement conforme. A savoir que ce sont les courants d'eau souterrains qui causent le cancer. ce mode d'appréciation pourrait être qualifié de théologique et n'a, en tous les cas, rien à voir avec une vision scientifique et confine simplement à l'idiotie.
Question: Et la théologie, vous connaissez?
Dr Hamer: Oui. J'ai étudié la théologie.
Question: Alors la science c'est autre chose?
Dr Hamer: Oui. Le tout mérite uniquement d'être rangé dans le tiroir de la bêtise et ne saurait satisfaire aucun scientifique. J'ai tenté de trouver un système reproductible et je l'ai trouvé. Il contient quatre lois biologiques et comporte pour chaque cas individuel, selon les calculs des mathématiciens, une probabilité de plus d'un million sur un (1.000.000/1). Nous pouvons, dès lors, examiner autant de cas que nous le voulons. C'est ainsi que, par exemple, le plus éminent oncologue et le plus compétent aussi d'Autriche, le Professeur Jörg Bergamyer, et moi-même, avons examiné des cas ensemble.
A la suite de ces examens, le professeur Bergamayer a attesté par écrit qu'ils avaient tous évolués exactement selon les lois biologiques; et que de ce fait la Médecine Nouvelle s'avérait juste. Dans le plus grand journal d'Autriche?????, il a écrit que cette Médecine Nouvelle était juste et qu'elle devait être vérifiée publiquement et le plus rapidement possible. Il a également dit au rédacteur, en ma présence, avoir personnellement examiné 50 cas sans qu'un seul ne vienne contredire ces lois biologiques de la Médecine Nouvelle.
Question: On ne va pas entrer ici dans le détail de ces lois biologique, si vous êtes d'accord, Docteur Hamer. Mais quand même, comment se fait-il, qu'aujourd'hui, l'on n'ait pas connaissance de tout cela dans les universités, dans le monde de la médecine et dans le monde surtout, de la cancérologie?
Dr Hamer: Pour la médecine dominante, ma découverte représente une catastrophe,. car les médecins doivent reconnaître qu'ils ont, depuis la ans, triché délibérément et sciemment; qu'ils ont tué des patients en les trompant et qu'ils sont, dès lors, des criminels.
Nous venons de mettre la main sur une circulaire de l'ordre des médecins de Stirie dans laquelle il est écrit - toutes les personnes ici présentes connaissent cela - «qu'il est interdit et considéré comme irresponsable ne serait-ce que de procéder à une vérification de la Médecine Nouvelle».
Il est donc permis de vérifier les mueslis, les betteraves rouges et le gui. Tout peut être testé sans problème. C'est uniquement la Médecine Nouvelle qui ne s'appuie sur aucune hypothèse et qui est logique en soi, qu'il est interdit d'examiner.
Question: On a l'impression qu'on vit dans un monde avec une certaine liberté. Vous n'avez pas cette impression?
Dr Hamer: J'ai cru, à un moment donné, à la liberté dans les pays occidentaux. Mais depuis que le prince de Savoie a abattu mon fils d'un coup de feu et depuis que toutes les autorités ont fait sa volonté et l'ont aidé à me surveiller durant 12 ans et à me pousser à la manie de la persécution. Et que depuis ce moment-là, je n'ai jamais pu gagner un procès, car ses frères de la loge P2 s'en sont toujours mêlés. Depuis lors, je ne crois plus en cette liberté. Elle n'a jamais existé. Elle n'existe que pour les petites gens. Mais c'est le contraire, dès qu'ils se politisent.
Question: Malgré tout, vous avez réussi à convaincre un certain nombre de médecins concernant votre Nouvelle Médecine?
Dr Hamer: Oui. Il y a 300 médecins en France. Ils sont convoqués et radiés de l'ordre des médecins. Ils doivent (ab)jurer la Médecine Nouvelle, 300 médecins dans le même jour. C'est horrible.
(En allemand) Si l'on réalise qu'il est possible de forcer des êtres humains à abjurer et cela au mépris de tout esprit scientifique, au mépris de toute discussion scientifique, sans aucun argument valable, simplement comme cela, jusqu'à interdire même la vérification, dans ces cas-là, c'est pire qu'au Moyen-Âge. Car, à cette époque, au moins, on a tout de même discuté avec Galilée. Aujourd'hui, on n'a même plus le droit de s'expliquer. La sanction tombe déjà avant la vérification. De ce fait, nous sommes revenus en deçà du Moyen Age.
J'ai déjà soumis publiquement - au moins 20 fois - la Médecine Nouvelle à la vérification devant un parterre de professeurs et de médecins. Chacun avait la possibilité de présenter des objections. Même la Stirie a organisé une vérification publique et en conclusion, l'expert s'est retranché derrière l'ordre des médecins du Land pour dire qu'il était incompétent, qu'il ne savait rien, qu'il ne pouvait être juge étant bactériologue. Que de frais pour rien!
Question: Mais Dr Hamer, il vous a été interdit de pratiquer la médecine? Comment ça s'est passé?
Dr Hamer: En 1986 (ou 1976 car dit en Suisse) le droit d'exercer la médecine m'a été retiré. En clair, parce que j'ai refusé de renier la loi d'airain du cancer et de rentrer dans le rang de la médecine d'école. Je ne me suis jamais rendu coupable de quoi que ce soit. Je n'ai jamais été ni puni, ni condamné antérieurement. Je n'ai rien fait non plus dans le domaine médical que l'on me reproche. Le fait est que je ne veux pas abjurer et que je ne peux pas non plus le faire. Car cela irait naturellement contre ma conviction intime. Je devrais prendre fait et cause pour une médecine qui repose sur 2.000 hypothèses et devrait abjurer la Médecine Nouvelle qui n'en nécessite aucune; et qui trouve sa logique en elle-même. C'est alors que j'ai dit: «cela je ne le peux pas».
Dans l'avenir, l'on retiendra comme datant d'avant le Moyen Âge, la déclaration selon laquelle le découvreur de la Médecine Nouvelle a été interdit d'exercer sa profession parce qu'il n'a pas abjuré en faveur d'une médecine d'école fondée sur des hypothèses, et qu'il doit presque sans cesse subir les enquêtes du procureur qui chercher à savoir s'il n'y a pas infraction à l'interdiction de pratiquer la médecine.
Question: A un certain moment dans votre livre, en parlant de votre fils, vous dites malgré tout qu'il a une grande importance dans la découverte que vous avez faite et qu'il continue de vous aider dans la compréhension de tout ce qui fait votre découverte sur le cancer...
Dr Hamer: C'est un passage difficile qui pourrait être mal compris. Mais moi, je n'y vois rien de particulier. En fait, chacun rêve de chose et d'autre et je rêve souvent, quant à moi, de ma femme morte ou de mon fils défunt. Et je ne ressens rien de particulier devant le fait d'avoir raconté ce rêve dans le livre «Cancer Maladie de l'Ame».
Question: Vous dites que votre fils et le rapport que vous avez conservé avec votre fils malgré son départ est pour beaucoup dans la découverte que vous avez faite et dans la manière dont vous faites des progrès dans cette compréhension...
Dr Hamer: Oui. Je ressens cela comme étant normal. Bien des savants qui ont fait leur découverte en rêve, et qui le matin ont sauté du lit en s'exclamant: «je l'ai rêvé, j'ai trouvé» et couchent cette découverte sur le papier. Si je ressens aussi cette Médecine Nouvelle comme un testament de feu mon fils Dirk, c'est que c'est bien au travers de sa mort, que j'ai mis le doigt sur cette découverte. Car, auparavant, j'ai moi aussi suivi le troupeau et je me sentais malin d'en être. Et c'est par la mort de mon fils que j'ai été mis sur la voie. Au fond, c'est pour moi rien que de très normal et légitime.
Pour les autres, cela n'a absolument pas d'importance de savoir comment une chose a été découverte. J'aurai aussi pu taire tout cela, et déclarer avoir trouvé cela tout seul. La seule chose importante, est de savoir si cela est vrai ou non et d'en apporter les preuves. Non seulement je n'ai pas honte, mais je suis très fier de pouvoir donner un contenu à l'héritage de mon fils défunt. Et je pense que cette découverte était trop grande pour nous autres vivants, et qu'elle n'était à la portée que d'un défunt.
Question: Docteur Hamer, revenons peut-être à ce qui vous tient le plus à cœur, c'est-à-dire le cancer, ses causes et la manière de le traiter. Au fond, pourquoi est-ce qu'il existe ce cancer?
Dr Hamer: Le cancer est un trouble de notre psychisme voulu par la nature. Nous appelons cela un conflit biologique. Chaque être humain et chaque animal y sont confrontés de la même manière. Je parle d'un conflit voulu. Parce qu'au fond, il ne s'agit pas d'un trouble, mais d'un jeu de la nature.
Prenons un exemple. Un cerf, un vieux cerf est chassé de son territoire par un jeune. Cette situation crée chez lui un conflit biologique. Il est hors de lui. Il se déchaîne et il mobilise toutes ses forces, jour et nuit. Il ne dort plus. Il perd du poids. Mais il est en pleine forme pratiquement jour et nuit. Il surprend ainsi le jeune cerf et parvient à son tour à le chasser de son territoire. Il s'agit en fait de l'épreuve qu'il doit surmonter chaque année. Dans la nature, ce trouble n'est pas dénué de sens. Au contraire, ce conflit est la seule chance dont dispose le cerf pour reconquérir son territoire pour une, voire deux ou trois années. Si dans la nature, il ne s'agit pas d'un trouble mais de quelque chose qui est voulu, nous pouvons alors appréhender les maladies d'une manière tout à fait autre. Ce ne furent donc pas des événements dénués de sens, mais ils avaient tous véritablement leur sens. Ainsi donc, chaque cancer a son sens dès le début et il le conserve.
Lorsqu'un patient est atteint d'un mélanome, celui-ci se développe à l'endroit du corps où il se sent souillé. Mélanome qui, à l'origine, devait servir à protéger cet emplacement. Si maintenant, nous nous projetons dans le domaine biologique, nous constatons que le processus est le même; qu'il s'agisse de conflits biologiques, de cancers qui ont un sens, ou de guérison de cancers. Dès lors, nous affirmons que tout ce que la médecine d'école pratiquée actuellement prétend: à savoir qu'il s'agit d'un enchaînement d'événements incohérents, fous et anarchiques, tout cela est faux. Car en fait, tout ce qui se passe dans la nature est sensé. Et toutes ces maladies évoluent logiquement.
La thérapie, elle aussi, doit être adaptée. Nous tentons, en nous appuyant sur la biologie, de procurer au patient une véritable solution à son conflit. Il n'est pas besoin pour cela d'être psychologue, ou psychiatre. Il suffit d'une saine compréhension de l'être humain. Nous ne devons pas non plus, placer le patient sous tranquillisant en lui répétant: «Tu dois penser positif. Tu dois faire de la thérapie de groupe. Tu dois faire ceci. Tu dois faire cela. Il faut te calmer». Mais nous devons, au contraire, le stimuler pour lui insuffler la force nécessaire à résoudre son conflit.
Question: Vous parlez là du cancer, mais est-ce que c'est la seule maladie concernée par cette Médecine?
Dr Hamer: Elle n'est pas uniquement applicable au cancer, mais à l'ensemble de la médecine. Les 4 lois biologiques sont valables pour toutes les maladies et pour l'ensemble de la médecine. Autrefois, nous connaissions un millier de maladies environ, dont 500 affections dites «froides» et 500 dites «chaudes». Parmi les «froides», l'on trouvait le cancer et les diverses scléroses et insuffisances rénales; et autres affections similaires.
Parmi les affections dites «chaudes», on trouvait les maladies infectieuses. Toutefois, aujourd'hui, nous n'envisageons plus que 500 maladies qui comportent deux phases. Tout d'abord une phase «froide», et ensuite une phase «chaude». C'est ce qu'on appelle la loi des 2 phases de la maladie. Grâce à elles, la Médecine Nouvelle - comme on dit en science - est reproductible. C'est-à-dire qu'elle peut être appliquée à chaque cas particulier. Car il est désormais possible de prévoir le déroulement de chaque cas particulier de maladie, aussi bien en phase active du conflit que lors de sa résolution. Et cela, sur trois plans: psychique, cérébral, organique.
En phase active, le patient a les mains froides, il a perdu l'appétit, il a une obsession, il ne pense plus qu'à son conflit. Dans la phase de guérison, il a les mains chaudes, bon appétit, il est abattu, fatigué et détendu. Si maintenant, nous examinons tous les cas, quels qu'ils soient, à la lumière de ces 4 lois biologiques et que nous trouvons une dizaine de cas les uns à la suite des autres qui sont clairement reproductibles alors ce système présente une probabilité de un sur un milliard. Ce qui est impossible dans la médecine d'école actuelle qui ne dispose elle, que d'hypothèses, et il est bien connu que l'on ne peut ni réfuter, ni prouver des hypothèses; encore moins lorsqu'elles sont de l'ordre du millier. Mais cette Médecine Nouvelle est une médecine exacte, relevant des sciences naturelles et elle est applicable de manière précise à n'importe quel cas, pour le bien-être du patient.
Question: Vous avez identifié les conflits par rapport à la vie animale?
Dr Hamer: Oui, il en va de même chez l'animal que chez l'être humain. Et nous recherchons toujours nos exemples et nos comparaisons dans le domaine de la biologie. Les êtres humains que nous sommes ont perdu leur instinct. Ainsi donc, la voiture représente pour nous un territoire. Comme d'ailleurs un jardin, ou une place de travail. Ou même un territoire imaginaire. Alors que pour les animaux, cette notion de territoire est encore très réelle. Mais fondamentalement, tout se passe chez l'homme, comme chez l'animal; de la même manière, sur trois plans : celui du psychisme, celui du cerveau, et celui des organes.
Question: Comment vous lancez-vous à la découverte de ce qui a déclenché, par exemple, un cancer ou une autre maladie, chez un patient?
Dr Hamer: Il est toujours possible de procéder à des examens sur trois plans. Si nous avons une vision exacte de l'un des plans - soit, par exemple, un bon scanner du cerveau, ou un bilan organique complet - on peut déduire ce qui se passe sur les deux autres plans, car c'est un système prédéterminé.
On peut, en effet, à partir de la connaissance d'une composante, déduire les deux autres. Si je ne l'avais trouvé moi-même, et si quelqu'un d'autre l'avait découvert à ma place, je dirais que c'est fascinant, et qu'à travers cette nouvelle vision, la médecine devient enfin passionnante. Mais au fond, en dépit de toute cette science, c'est le patient qui nous tient le plus à cœur. C'est le cas du moins pour moi, qui suit d'abord un praticien.
Au contact de ces médecins qui pratiquent la Médecine Nouvelle, le patient a pour la 1ère fois le sentiment d'être compris et se dit: «Ah! C'est un orfèvre en la matière. II perçoit mon âme, il comprend mon cerveau, il maîtrise l'analyse des organes et il peut en faire la synthèse. Et dès lors il connaît ma maladie de fond en comble.» C'est cela qui est fascinant pour le patient. Vous aurez compris que la Médecine Nouvelle est beaucoup trop précieuse pour être vendue contre de l'argent.
En fait, la Médecine Nouvelle est une collaboration heureuse et pleine de confiance entre le patient et le médecin. S'il a été traité jusqu'ici tel un morceau de bois ou de pierre; il est appelé à devenir actif et à réfléchir en compagnie de son médecin pour trouver la meilleure solution possible. Je crois que l'opinion de tous les médecins qui ont pratiqué jusqu'ici la Médecine Nouvelle est unanime quand ils affirment pour la 1ère fois: «Nous sommes à nouveau heureux d'être médecins».
Question: Quel est l'avenir de votre découverte?
Dr Hamer: L'on ne peut plus arrêter la Médecine Nouvelle. Il est vrai que l'on peut occulter la vérité durant 10 ans, peut-être durant 15 ans, mais on ne peut plus l'écarter. Même les gens qui ont le pouvoir dans le monde et dans les grandes loges - telle la loge des maîtres de loges - ne pourront pas non plus empêcher la Médecine Nouvelle.
On ne peut que se culpabiliser toujours davantage à l'égard des pauvres patients qui m'obsèdent jour et nuit et qui sont alités dans les cliniques et qui s'entendent dire par les patrons et les médecins chefs, qu'il n'y a plus rien à faire. En réalité, on leur ment. Car 90, 95% des patients pourraient encore être aidés, il suffirait de le vouloir.
Question: Vous avez dit qu'on avait attenté plusieurs fois à votre vie. Est-ce que c'est réel?
Dr Hamer: Oui. J'ai échappé à 8 attentats, dont quelques-uns en présence d'un ou deux témoins. Egalement de mes amis ont été menacés. C'est la pure vérité. Et d'ailleurs, dans la plupart du temps, le procureur en a été informé par dénonciation.
Question: Par quels moyens pensez-vous que cette Médecine finira par s'imposer?
Dr Hamer: Le jour viendra où les patients et les médecins, ne consentiront plus à se laisser tuer. Les professeurs, même ceux de Villejuif, et les sommités de l'oncologie d'Allemagne et d'Autriche, se soignent eux-mêmes depuis longtemps, selon les méthodes Hamer. Pendant ce temps, ils continuent à laisser mourir leurs patients, car la chimiothérapie et la radiothérapie en tuent 90%. Au fond, ce qui est grave, c'est qu'il n'existe, en fait, aucune instance qui soit réellement habilitée à faire la part de ce qui est vrai et de ce qui ne l'est pas.
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