L'Homme
L'homme ... actuel! (Pour combien de temps encore?)
L'Homme
L'homme ... actuel! (Pour combien de temps encore?)
«Seul contre tous». La vie et l’œuvre du Docteur Ryke Geerd Hamer
Projection - conférence – Dimanche 16 novembre 2008 à 17 heures et à 20 heures (Paris XV)
- Mahatma Gandhi -
Le livre "La médecine nous tue" dénonce: Des tranquillisants pour tous, des antibiotiques dès la petite enfance, des hormones pour cacher le vieillissement, des médicaments qui rendent malades, la grande mode des vaccins pour tout, des diagnostics qui font vendre..
La médecine serait-elle devenue folle? A-t-on le droit aujourd’hui de critiquer cette nouvelle religion où le médecin, véritable moine en blouse blanche, nous assène des connaissances comme paroles d’Évangile ? Parce que la médecine actuelle retire à l’individu la responsabilité de sa santé, parce que le citoyen est infantilisé et conditionné à vivre dans la terreur des maladies, il est temps qu’une voix s’élève contre cette dérive. Cette voix est celle d’un homme, libre penseur, qui a choisi une philosophie de vie où la réflexion et l’action ne sont pas sous le joug du bien pensant consensuel
Le livre propose une réflexion solidement fondée sur des faits d’actualité, une mise en perspective historique des liens qui unissent la médecine et le religieux. Le style est celui d’un écrivain, qui là encore, fait œuvre de liberté, d’originalité. C’est une pensée buissonnière qui nous entraîne hors des sentiers battus, hors des clichés rebattus, loin des certitudes que l’arrogance des spécialistes nous distille quotidiennement. Marc Menant revendique le droit à la suspicion devant tant d’informations, tant de préconisations et tant de prescriptions concernant notre alimentation, notre sexualité, notre sommeil, nos loisirs.
Il cherche le ressort de cette volonté de puissance d’une médecine qui, à vouloir tellement nous guérir, finit par nous affaiblir jusqu’à la mort. Dénonçant cet étrange paradoxe d’une médecine qui nous tue, ce livre participe d’une démarche citoyenne, il s’agit d’éthique et de liberté, il s’agit de reprendre la maîtrise de soi, de refuser la passivité et la manipulation, il s’agit de vivre pleinement. Pour autant Marc Menant, dans la deuxième partie du livre, ne choisit pas la simplicité de nouvelles recettes qui viendraient s’ajouter à la longue liste de celles proposées par les thérapeutes, médecins, spécialistes, coachs et psy en tous genres. Il nous parle d’une dynamique de vie et nous invite à quitter la survie pour une vie supérieure, une «sur vie» qui ne s’acquiert qu’à la condition d’un engagement complet, d’un désir ardent et d’un appétit de vivre qui apparaissent comme source de santé. Marc Menant est l’homme de cet engagement.
Propos d'un lecteur: "Ce livre nous ouvre les yeux sur toute cette mascarade médicale, qui nous fait croire des inepties. Il devrait être recommandé par la sécurité sociale. Le style est très agréable et l'auteur ne fait aucune concession. Il est temps de dénoncer l'abus des prescriptions, l'imposture des vaccins, la toxicité des médicaments etc. Je recommande ce livre à tous mes amis." (Site Fnac 23.10.08.)
Propos d'un autre lecteur:
Propos d'un auditeur d'une émission de Marc Menant:
"Incroyable! Ce midi, sur Europe 1, quelqu'un a osé dire que les vaccins ne servaient à rien et que les 3/4 des médicaments étaient soit inutiles soit dangereux!
Certes, opposé à un médecin pur et dur et qui avait, on le sentait bien, la complaisance du journaliste Jean-Marc Morandini (qui a toutefois eu le mérite de proposer ce débat), Marc Menant a eu du mal à en dire beaucoup plus, mais quand même: quel bonheur!
Marc Menant, journaliste, s'était déjà illustré sur Europe 1, il y a quelques années, en animant d'excellentes émissions sur les médecines et thérapies alternatives, et même sur le paranormal et le surnaturel. Là il est venu à l'occasion de la sortie de son livre "La médecine nous tue!" aux Editions du Rocher.
Le médecin invité n'a pu s'empêcher de dire que des sectes tenaient le même discours (si Marc Menant n'avait pas été journaliste, on peut parier qu'il l'aurait à coup sûr accusé ou soupçonné d'en faire partie d'une) et il a avoué à la fin qu'il ne lirait pas son livre, une belle preuve que le conditionnement médical est plus fort que l'esprit critique et qu'il est quasiment impossible pour la médecine officielle de se remettre en question..."
Vous pouvez réécouter ce "débat" ici :
http://www.europe1.fr/grilleProgramme/gril...io/2008-10-23/2
(cliquez sur l'icône devant "12h45 Le Grand Chat")
Michel Rioche
30 route des Echelettes
74380 Arthaz
Tél/Fax 04 50 36 02 16
E-mail: Michel.Rioche@wanadoo.fr
LA VIE
163 Bd Malesherbes
75859 Paris Cedex 17
Monsieur le Rédacteur en chef,
Article "Gare aux dérives" – La Vie, semaine du 09/02/06
Votre journal a une réputation de sérieux et j'ai donc été très surpris par le contenu de l'article ci-dessus dans lequel votre journaliste fait des amalgames qui je pense lui ont été soufflés par l'UNADFI.
En effet ces affirmations erronées ne viennent que d'une source, cette organisation qui a pris la lutte contre les sectes comme cheval de bataille. Pour un journal orienté comme la Vie, cela est pour le moins incompréhensible.
Je pense que vous serez d'accord avec moi, qu'on ne retrouve pas les délinquants spécifiquement dans le domaine religieux, mais qu'ils sont malheureusement surreprésentés dans l'ensemble de la population. Rechercher une voie spirituelle quelle qu'elle soit ne doit pas constituer un soupçon de délinquance, bien au contraire.
Mais dans le cas présent, il n'y a rien de religieux, seulement une question médicale controversée soit, parce qu'obstinément occultée.
Il est dommage que vous ne vous contentiez que d'une source d'information et n'ayez pas eu la curiosité de savoir ce que la médecine du Dr Hamer peut avoir de bénéfique. Moi-même et bien d'autres personnes pourraient vous informer utilement à ce sujet.
"Phsychobiogénéalogie et "psychogénéalogie" n'ont rien à voir avec ce que propose le Dr Hamer. Afin de protéger ses découvertes de personnes qui les arrangeaient sans son consentement, le Dr Hamer a changé la dénomination de Médecine Nouvelle en «Germanische Neue Medizin». Ce n'est peut-être pas très heureux, mais l'objectif est de clarifier la situation. Apparemment, l'UNADFI préfère tout mélanger.
Vous indiquez, à juste titre, qu'il est difficile d'évaluer les "victimes" du Dr Hamer. Officiellement, il y en aurait eu trois qu'il n'a jamais vues et qui étaient en fin de vie après avoir subi les traitements officiels. Par contre, en ce qui concerne le cancer, il y en a 150 000 qui en meurent chaque année en France "grâce" à la chimio, les rayons et la chirurgie, sans compter les 30 000 qui meurent de maladies nosocomiales et iatrogènes. Oui, malheureusement, on meurt trop souvent de cancer, du sein ou autres, alors qu'un minimum d'ouverture d'esprit pourrait vraisemblablement sauver beaucoup de vies.
En ce qui concerne les plaintes, ce sont surtout maintenant celles qui sont adressées contre l'UNADFI de la part de groupes qui sont injustement discriminés par ses accusations infondées.
Afin que vous puissiez voir quelles sont mes motivations je me permets de joindre la copie d'un courrier que je viens d'envoyer à notre ministre de la justice. Je me tiens bien volontiers à votre disposition pour vous fournir des renseignements complémentaires si vous le jugez utile.
Nul doute, au vu de votre dossier de cette semaine "Quand l'esprit guérit le corps. Lentement, mais sûrement, la médecine occidentale découvre les interactions entre l'esprit et le corps. (...) … De plus en plus de médecins intègrent ces méthodes à leur pratique", que vous apprécierez le texte de l'UNACS défendant le pluralisme thérapeutique que je vous remets également en pièce jointe.
J'espère que cette lettre retiendra votre attention et vous incitera à examiner un sujet que vous avez trop vite et mal examiné.
La médecine est un sujet très sérieux, car il y va de la vie des gens et du budget de la nation. On ne peut pas se contenter de se faire manipuler par une industrie pharmaceutique florissante et un lobby scientiste agressif pour se faire imposer des traitements contraires au simple bon sens. La science doute justement par principe et se doit donc d'étudier toutes les alternatives, mêmes celles qui peuvent sembler d'un prime abord farfelues au vu des connaissances acquises. Ou, sûre d'elle-même, la science aurait-elle perdu ses principes?
Dans l'attente de vos nouvelles je vous présente, Monsieur le Rédacteur en Chef, mes salutations les meilleures.
Michel RiocheAuteur de «Le langage de la guérison: histoire d'une révolution scientifique dans le domaine de la médecine.»
L'article, paru (...) le 27/06/2003 (...), intitulé «Le coup de marteau du Dr Hamer» a retenu toute mon attention. En effet, il traite d'un sujet que je connais parfaitement et sur lequel je travaille depuis 1986, à des titres divers. Je suis, en effet, de formation scientifique et philosophique et je m'intéresse particulièrement à l'épistémologie des pratiques médicales, dans une optique pluridisciplinaire.
Autant vous l'avouer tout de suite, cet article m'a heurté et révolté au plus haut point, par le nombre d'inexactitudes et de mensonges qu'il contient, sans compter l'intention volontairement calomnieuse à l'encontre des différents acteurs cités dans cet article. Ma conviction est certaine: l'auteur (...) n'a pris aucune des précautions élémentaires qu'exige la déontologie du métier de journaliste: vérifier les informations, vérifier les sources, interroger les personnes concernées, avant de publier un article.
Je vous demande donc, au nom des différentes personnes attaquées, un droit de réponse, sous la forme que vous jugerez la plus utile et la plus appropriée. Je suis conscient que vous n'êtes pas obligé de m'accorder un droit de réponse, car je ne suis pas personnellement cité dans cet article. Par contre, je pense être, en Belgique, une des personnes les mieux placées pour vous affirmer que l'article (...) est un tissu de contrevérités. (...)
Je suis une des personnes les mieux placées, vous disais-je. En effet, il se fait que je connais toutes les personnes citées dans cet article. Je connais personnellement le Docteur Hamer, que j'ai rencontré à plusieurs reprises depuis 1990 et dont j'ai lu la quasi-intégralité des travaux publiés en langue française. Je connais personnellement le Docteur Claude Sabbah, dont j'ai suivi une quarantaine de jours de formation, entre 1997 et 2001. (...)
Mon travail, depuis de nombreuses années, est un travail de synthèse, de vulgarisation et de diffusion des informations que je glane au fil de mes lectures, de mes expériences personnelles (où je teste sur moi la plupart des thérapies parallèles auxquelles je m'intéresse) et des témoignages que je recueille pour valider ou non les hypothèses dont j'ai connaissance. C'est donc dans une optique pédagogique que j'ai écrit plusieurs livres sur le sujet (dont «Le langage de la guérison» aux éditions Jouvence), que je donne de nombreuses conférences publiques en francophonie (Belgique, France, Suisse et Québec) et que j'anime des séminaires de formation. Je donne également un cours de physique quantique à l'école belge d'homéopathie.
L'article (...) est un trop bel exemple de manipulation des médias par certains groupes de pression pour laisser les choses en l'état. Que des journalistes prennent position dans un débat de société, c'est leur métier et leur devoir. Qu'ils se fassent les perroquets serviles d'individus ou de groupes qui n'ont plus d'autres choix que d'utiliser le mensonge et la calomnie pour défendre leurs intérêts, est non seulement scandaleux, mais en plus indécent et non professionnel.
En même temps, l'article (...) est une très belle opportunité de lancer un débat public sur les traitements alternatifs du cancer. Je saisis donc cette opportunité en lançant trois défis.
Je lance d'abord le défi à l'auteur de venir me trouver et de m'interviewer pour connaître dans le détail l'origine de cette polémique scientifique qui s'est transformée avec le temps en une guerre idéologique, défendant des intérêts strictement financiers, sous prétexte de protéger les pauvres victimes du cancer. . .
Lors d'un des procès contre le Docteur Hamer (en 1998), à la demande des avocats de la partie civile (c'est-à-dire ceux qui voulaient faire condamner Hamer pour homicide volontaire et non-assistance à personne en danger), le tribunal a reçu les résultats d'une statistique concernant les patients soignés par le Docteur Ryke Geerd Hamer (pour les comparer aux statistiques nationales en Allemagne).
Le parquet de Wiener Neustadt a dû reconnaître et avouer que, parmi les 6.500 patients dont les adresses avaient été confisquées lors d'une perquisition au centre pour la Médecine Nouvelle dirigé par Hamer, plus de 6.000 étaient encore en vie après près de 10 ans, soit environ 95 %, alors que les statistiques nationales pour les patients soignés par chimiothérapie ou par radiothérapie donnent des chiffres de moins de 30 % de survie après 5 ans...
Cela, l'auteur de l'article osera-t-elle le publier? Et dites-moi, de quel côté croyez-vous que se trouvent les victimes? Celles à qui on fait croire que la seule façon de s'en sortir, c'est d'accepter d'être mutilé (chirurgie ablative), d'être irradié (radiothérapie) ou d'être empoisonné (chimiothérapie utilisant le gaz moutarde, qui a fait tant de victimes pendant la première guerre mondiale!) et qui n'ont finalement que 10 à 60 % de chances de survie à 5 ans, en fonction du type de cancer dont ils sont atteints? Ou celles à qui l'on dit honnêtement: «Reprenez la responsabilité (pas la culpabilité) de votre santé et apprenez à gérer vos processus de guérison», sans pour autant rejeter systématiquement les thérapies classiques, quand c'est nécessaire, et qui peuvent avoir jusqu'à 95 % de chance de survie, s'ils sont suivis par quelqu'un de compétent?
Vous comprendrez aisément les raisons pour lesquelles des chercheurs comme Hamer, Sabbah ou d'autres sont inquiétés, calomniés, voire emprisonnés. Soigner (7) un cancéreux de manière classique rapporte énormément d'argent au système médico-pharmaceutique et ruine de plus en plus le budget de la sécurité sociale. Si cela lui donnait plus de chance de survie, on pourrait considérer que c'est un mal nécessaire, mais ce n'est même pas le cas! Aider un cancéreux à se guérir lui-même, grâce à un accompagnement psychothérapeutique et médical approprié, même à 60 ou 90 euros la séance (séance d'une heure à une heure trente), à raison d'une séance toutes les deux à quatre semaines (et pas trois fois par semaine comme le prétend 1'article), rapporte beaucoup moins aux médecins, aux hôpitaux et aux industries pharmaceutiques. Puis, un cancéreux qui guérit en sortant des sentiers battus, cela fait désordre et c'est encore plus gênant qu'un cancéreux qui meurt en étant resté docilement dans le giron de la science officielle, réconforté (comme on dit) par le «sacre - ment» des malades.
Moi-même, lorsque j'ai commencé à diffuser l'information concernant la Médecine Nouvelle du Docteur Hamer, j'ai dû faire face à de nombreux désagréments. L'Ordre des Médecins ne pouvant me rayer (je ne suis pas médecin), le tribunal ne pouvant me condamner pour exercice illégal de la médecine (je ne reçois personne en séance de psychothérapie), il restait une façon de me faire taire: le harcèlement administratif. En cinq ans, mon cabinet de formation fut l'objet de quatre contrôles de l'ONSS, trois contrôles fiscaux, un contrôle TVA, deux contrôles de la médecine du travail et un contrôle de l'Inspection Spéciale des Impôts. Aucun de ces contrôles n'a débouché sur le moindre redressement ni la moindre condamnation. Au contraire, nous fûmes félicités par les inspecteurs qui ne comprenaient pas eux-mêmes pourquoi l'administration s'acharnait sur nous. Je fus, dans le même temps, accusé d'être un gourou dangereux, manipulant les consciences à travers mes livres, mes conférences et mes séminaires. Je suis donc, à moi tout seul, une secte dangereuse, fichée à la sûreté de l'Etat en Belgique, aux Renseignements Généraux en France et à la sécurité nationale en Suisse. Mais pas la moindre plainte à mon encontre: mon dossier est, comme me le disait un journaliste enquêtant sur les phénomènes sectaires, désespérément vide.
Je pourrais, si elle le souhaite, éclairer la lanterne de Madame Gruber sur l'utilisation qui est faite depuis 1994 du concept de secte pour éliminer toute personne ou toute institution gênante pour le pouvoir en place, qu'il soit religieux, scientifique ou politique. Comme le prônait Hitler, «lorsque vos ennemis ont raison ou sont trop forts, ne les affrontez pas. Utiliser encore et encore la calomnie». Le Docteur Hamer n'a jamais eu d'adeptes. Il a eu de nombreux patients, pour la plupart encore en vie aujourd'hui. À moins que le Docteur Charles Berliner ne confonde maintenant une patientèle avec une secte.
Le deuxième défi que je lance, c'est au Docteur Berliner que je l'adresse. Je lui lance un défi scientifique. Celui, tout simple, d'accepter de vérifier les hypothèses du Docteur Hamer. Cette démarche a déjà été entreprise plusieurs fois, dans quelques universités: à chaque fois, les conclusions des commissions d'experts ont été unanimes: «Nous avons vérifié que tous les points de la théorie du Docteur Hamer, se vérifient dans 100 % des cas». Ces experts, d'après vous, étaient-ils des patients fragilisés par leur maladie? Étaient-ils des charlatans? Étaient-ils fous? Non, tout simplement des scientifiques (médecins, cancérologues, chercheurs universitaires, biologistes, etc.), travaillant tous dans des facultés universitaires officielles.
Quand j'ai acquis ma formation scientifique (en tant que physicien théoricien), j'ai appris que l'attitude de base qui devait caractériser notre démarche était d'être ouvert à la contradiction et attentif aux exceptions qui n'entrent pas dans le cadre des théories existantes. En 1899, un congrès international a réuni les plus grands scientifiques de la planète pour faire le point sur l'état de la science. S'ensuivit une déclaration solennelle affirmant que «95 % des phénomènes de la nature étaient aujourd'hui expliqués et résolus. Seules, quelques broutilles restaient à régler, ce qui fit dire aux congressistes que le métier de scientifique n'était plus un métier ni passionnant, ni d'avenir». En effet, parmi ces broutilles, il y avait l'effet photoélectrique, qui n'entrait pas dans le cadre des théories sur l'électromagnétisme.
Deux personnages, Max Planck et Albert Einstein, ont eu l'intelligence de s'intéresser à cette broutille, cet unique phénomène qui n'entrait dans aucune des théories connues sur la lumière (alors que plusieurs dizaines de phénomènes, eux, étaient parfaitement expliqués par ces mêmes théories). Cela déboucha sur deux des trois grandes théories physiques du XXème siècle qui bouleversèrent 95 % des anciennes lois connues. Ces théories sont la physique quantique (qui n'a toujours pas été remise en question à ce jour!) et la relativité restreinte et générale.
En cancérologie, je connais personnellement plusieurs personnes diagnostiquées cancéreuses, condamnées à plus ou moins brève échéance. Hamer, a lui seul, en a connu plusieurs milliers. Ces personnes ont guéri, sans recours aux traitements classiques. Pourquoi aucun médecin, aucun cancérologue ne s'intéresse-t-il à ces patients «miraculés»? Pourquoi, systématiquement, les médecins scientifiques déclarent-ils une erreur de diagnostic, malgré des dossiers épais de plusieurs centimètres? Cette attitude peut être qualifiée non seulement de non-scientifique, mais de falsificatrice et de criminelle.
Observer grâce au scanner, grâce aux analyses sanguines, grâce aux échographies, aux radiographies, à la RMN, la présence d'une tumeur cancéreuse, pronostiquer une probabilité de survie (ou condamner certains à brève échéance), puis revoir le même patient quelques mois plus tard sans aucune trace de tumeur, et déclarer qu'une erreur de diagnostic a été commise, cela a un nom en psychologie: c'est une attitude de déni, en d'autres termes, le refus de voir la réalité.
Beaucoup de scientifiques, et en particulier beaucoup de médecins, sont atteints de cette pathologie grave, consistant à refuser de reconnaître les faits afin de ne pas remettre en question leur croyance en la sacro-sainte science. C'est en effet, bien plus confortable de continuer de penser comme on a toujours pensé plutôt que de se remettre en question. Sauf que dans le domaine médical, cette pathologie inquiétante devient mortelle pour des milliers de patients, chaque année dans notre pays.
Tant qu'il s'agissait de contredire Galilée qui a osé affirmer que c'est la terre qui tournait autour du soleil et non l'inverse, ce n'était pas très lourd de conséquences. II a peut-être passé un mauvais moment, mais personne n'en est mort. Tourner en ridicule des chercheurs comme Max Planck ou Albert Einstein, lorsqu'ils ont affirmé que la lumière semblait avoir une double nature (ondulatoire et corpusculaire), ce n'était pas très lourd de conséquences non plus, sauf pour leurs détracteurs qui se sont couverts de ridicule, par la suite.
Mais falsifier des preuves de guérison spontanée, déclarer des erreurs de diagnostic pour ne pas remettre en question la sacro-sainte théorie, refuser un débat contradictoire sur les travaux d'un scientifique qui mériterait, à mon sens, au moins deux prix Nobel de médecine pour ses découvertes, tout cela est tout simplement criminel.
Comme disait le même Max Planck, lorsqu'il était victime de railleries probablement plus élégantes que celles contenues dans l'article en question: «Ce ne sont pas les nouvelles idées qui triomphent. Ce sont les défenseurs des anciennes qui meurent». Faudra-t-il attendre que les détracteurs meurent pour qu'enfin, un débat sérieux soit ouvert en Belgique? Mais, pendant ce temps, des milliers de patients n'ont pas accès à des informations qui pourraient leur sauver la vie.
Qu'il soit criminel de bercer d'illusions les malades affaiblis par la maladie (quelle qu'elle soit), je suis bien d'accord avec cela. II est effectivement criminel de faire croire aujourd'hui, à un patient atteint d'un cancer, que son seul salut est dans la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie (alors que les statistiques nous montrent que pour certains cancers, les traitements classiques débouchent sur 90 % de mortalité à moins de 5 ans!).
Il est criminel, aujourd'hui, d'encore faire croire au patient qu'il n'a que 30 % de chances de survie s'il a tel cancer. Il est criminel de lui faire croire que la maladie lui tombe dessus comme une fatalité, alors que des centaines de publications viennent confirmer (sans aller jusqu'au bout de leurs conclusions) le rôle déterminant des chocs psychologiques brutaux mal vécus. Il est criminel de faire passer des chercheurs avant-gardistes pour gourous dangereux, parce que leur seul crime est de proposer une vision plus globale de la santé et de l'être humain, vision qui intègre non seulement la dimension physiologique et physique, mais aussi psychologique et spirituelle. Il est criminel d'utiliser les médias pour réaffirmer avec force une idéologie médicale à bout de souffle, incapable d'améliorer la santé des citoyens, malgré l'augmentation exponentielle de ses coûts de fonctionnement. Il est criminel d'utiliser les médias pour diaboliser, pour calomnier des thérapeutes dont le souci n'est pas leur compte en banque ou le pouvoir, mais le service et l'écoute de patients en détresse qui n'ont plus confiance (je les comprends) en la médecine scientifique.
Oui, je confirme qu'il risque d'y avoir beaucoup de travail dans les prochaines années, lorsque les patients de la médecine classique s'apercevront qu'ils ont été abusés, trompés, manipulés, mutilés et tués, par les scientifiques et les médecins qui peuplent les hôpitaux et les cabinets et qui se réclament de leur religion monothésiste (religion à une seule thèse). Il risque de s'apercevoir que les charlatans et les gourous ne se trouvaient pas du côté où ils les avaient traqués, mais de son côté.
(...)
Je vous lance, enfin, un troisième défi, à vous, en tant que rédacteur en chef de ce magazine. Aurez-vous le courage de publier les extraits les plus significatifs de cette lettre? Aurez-vous, surtout, la permission du groupe auquel appartient le Vifll'Express de publier des informations vitales pour les patients, mais gênantes pour les lobbies pharmaceutiques, médicaux et hospitaliers.
J'en appelle à votre conscience. D'un côté, il y a les intérêts des lobbies que votre groupe se doit de défendre, au mépris de l'objectivité et de la déontologie journalistique. De l'autre, il y a la vie de milliers de patients qui ont droit de savoir que des vérifications honnêtes ont déjà été faites à propos des travaux des docteurs Hamer et Sabbah. Avec, comme corollaire, une approche de la santé qui rendrait chacun plus responsable de son état de santé, une diminution du déficit de la sécurité sociale, une amélioration de la santé publique.
J'espère que vous ferez le bon choix, même si vous pourriez légitimement craindre pour votre emploi. Je sais que les lobbies en question n'hésitent pas à éliminer par tous les moyens (légaux et illégaux) ceux et celles qui se mettent en travers de leur route, au mépris de la vie de millions de personnes. Peut-être avez-vous peur de cela, mais je peux me tromper.
Je fais partie de ces citoyens qui ont décidé de prendre leurs responsabilités et leur vie en main. Toutes les accusations auxquelles j'ai dû faire face, le harcèlement dont je fus l'objet, tout cela s'est finalement révélé comme le plus fabuleux cadeau que la vie m'ait fait. Grâce à des personnages (...) qui cherchent à diaboliser ceux contre qui ils ne peuvent rien, je suis devenu encore plus fort et plus droit dans ma démarche, plus précis dans mes propos, plus déterminé dans mon travail. Je suis encore plus irréprochable dans la gestion de mes affaires financières et dans le respect que je porte vis-à-vis de tous mes collaborateurs. En ce sens, la phrase d'Évangile nous invitant à «bénir nos ennemis» a pris pour moi tout son sens.
Gandhi disait: «Un citoyen debout et conscient est plus dangereux pour le pouvoir en place que dix mille citoyens couchés et endormis». De quel côté serez-vous (...)? Moi, j’ai choisi. Et je sais quelles sont les valeurs qui m'y ont poussé, depuis longtemps.
En vous remerciant de l'attention que vous aurez portée à la présente, et dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie de croire (...) en l'expression de ma plus ferme détermination.
Jean-Jacques Crèvecœur
auteur (entre autres), en collaboration avec Ananou Thiran,
de Le langage de la guérison (éditions Jouvence)
D'autres voies pour le soin et la guérison des malades
seront évoquées au Colloque
Voir aussi:
Croisade pour la Guérison du cancer
Depuis le 11 septembre 1998, la Médecine Nouvelle est confirmée officiellement suite aux travaux de vérification effectués à l'Université de Trnava (Tyrnau) les 8 et 9 septembre 1998.
Le document a été signé par le pro-recteur (mathématicien), le doyen (oncologue), et le président de la commission scientifique, professeur en psychiatrie.
Pour cette raison, la compétence des signataires ne peut être mise en doute.
Les universités d'Europe de l'Ouest, principalement l'université de Tübingen, se sont vigoureusement refusées depuis 17 ans à effectuer une telle vérification scientifique.
Dans les années passées, beaucoup de médecins ont procédé à la vérification des lois naturelles de la Médecine Nouvelle au cours de 26 conférences-vérifications. Lors de celles-ci, tous les cas ont toujours été démontrés exacts. Pourtant ces documents, même avec certification notariale, n'ont pas été reconnus. Toujours et partout il a été "argumenté" que tant que cette vérification ne serait pas effectuée officiellement par une université, elle ne compterait pas et tant que cela ne serait pas fait, la médecine d'école seule serait "reconnue".
La Médecine Nouvelle, avec ses 5 lois naturelles et biologiques, sans hypothèse supplémentaire, est valable pour l'homme, l'animal et les végétaux. Elle est si claire et cohérente que l'on aurait pu, et on aurait dû, facilement la vérifier avec le premier cas venu, si on l'avait seulement voulu.
Les appels au meurtre, campagnes médiatiques, poursuites par les média ou interdiction d'exercer, diverses tentatives d'attentat et menaces de traitement psychiatrique forcé (pour perte du sens des réalités), jusqu'à l'arrestation (à cause de trois informations données gratuitement sur la Médecine Nouvelle. Pour cela, l'on m'a mis en prison pendant une année). Tout ceci ne remplace pas les arguments scientifiques pour contrer un adversaire scientifique. L'étouffement de la découverte, comme on peut le reconnaître maintenant, n'a-t-il pas été l'expression de la force brutale afin de garder le pouvoir et les biens de l'ancienne médecine ?
La Médecine Nouvelle est la médecine de l'avenir.
L'obstruction envers elle rend le crime contre l'humanité chaque jour plus grand !
D'après les statistiques aussi officielles que celles du centre allemand de recherches contre le cancer d'Heidelberg, on peut toujours constater que très peu de patients, traités à la chimiothérapie par la médecine d'école, sont toujours en vie après 5 ans.
Le ministère public de Wiener Neustadt devait concéder à ce sujet que, lors de la perquisition du "Centre de la Médecine Nouvelle de Burgau", les 6500 adresses de patients saisies ont permis de constater que plus de 6000 étaient encore en vie après 4 et 5 ans, soit plus de 90 %.
L’exigence de vérification par une université est remplie. Maintenant, les patients ont droit à ce que soit mis fin au pire et plus cruel crime contre l'humanité, et que tous aient la même chance d'être traités officiellement selon les 5 lois biologiques naturelles de la Médecine Nouvelle.
J'en appelle à tous les hommes et à toutes les femmes sincères et je sollicite leur aide.
Dr Hamer
Université de Trnava
Herisau, le 17/09/1998
Les jours 8 et 9 septembre 1998, à l’Institut d’Oncologie Sainte Elisabeth de Bratislava et dans le service d’oncologie de l’hôpital de Trnava du Doyen de la faculté de méthodologies thérapeutique et sociale de l’Université de Trnava sept cas de malades ont été examinés, pour un total de plus de 20 maladies, en présence du Vice-Recteur de l’Université de Trnava, du Doyen de la faculté de méthodologies thérapeutiques et sociales de l’Université de Trnava, et d’une dizaine de représentants du corps enseignant dans son ensemble.
(En annexe, les fiches médicales de ces cas cliniques, rédigées par le Docteur Hamer). Il s’agissait de vérifier son système selon des tests de reproductibilité.
La vérification a été effectuée.
En l’absence de rapports médicaux complets il n’a pas été possibles de contrôler tous les cent éléments, environ, qui peuvent être pris en examen selon les règles de la Médecine Nouvelle, mais ceux qui ont pu l’être se sont démontrés correspondants aux lois naturelles énoncées par la Médecine Nouvelle.
Les sous-signés considèrent donc que son système, tel qu’il a été présenté au cours des deux séances de vérification, présente un degré de crédibilité très élevé. Nous avons la plus haute estime pour l’effort humain, moral et la persévérance du Docteur Hamer, ainsi que pour la nouvelle attitude holistique avec laquelle il approche le malade. C’est sur la base de tous ces éléments que nous sommes arrivés à la conclusion qu’une application de la Médecine Nouvelle aussi prompte que possible serait urgente et souhaitable.
Trnava, le 11.09.1998.
Prof. Doct. I. Pogady, professeur en psychiatrie et president de la Commission Scientifique.
Prof. Doct. V. Kroméry, doyen de la faculté de Méthodologie Thérapeutique.
Prof. J. Mildosko, Vice-Recteur de la faculté de Recherches.
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